#51 – 7 étapes pour définir tes tarifs autrement

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

Vous n’y couperez pas ! *

Que tu sois au début de ta vie de freelance. Ou que tu réfléchisses à ta nouvelle offre. Tu vas devoir définir tes prix.

Associer de l’argent à tes prestations.

Sauf que je vois souvent la même approche : On met beaucoup des autres. Et très peu de toi.
On va faire autrement, OK ? Dans cet épisode d’une 20aine de minutes, je t’explique comment :

  • Structurer autrement ta réflexion sur tes prix,
  • Analyser la concurrence sans tomber dans le syndrome de l’imposteur,
  • Éviter les pièges des prix trop bas.

Pour finir, il y a dans cet épisode une annonce importante sur mon podcast.

Franchement, si tu dois écouter un seul de mes épisodes. C’est celui-là !

Pour l’occasion, j’ai écrit un petit poème sur Ouvrez-la :

Un podcast pour les gouverner tous,
Un podcast pour tes clients trouver,
Un podcast pour tes prospects signer,
Et dans la thune, les lier
Dans ton CRM où s’étendent les nombres. *

Bonne écoute !

 

* Si après ça, tu n’as pas la réf je rends mon tablier ! 😂

#50 – Antoine Coudert contre l’opacité du don

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

Le bruit et la foule t’épuisent.

T’as perdu 1 h dans les rayons. T’atteins finalement la caisse. Tu fais la course contre le tapis roulant. Le verdict tombe : « Ça fera 157,48 € s’il vous plait. ». T’encaisses le choc du montant. Mais pile au moment où tu sors ta CB. On te demande d’arrondir ton ticket. Pour soutenir une association que tu ne connais pas. L’hôte de caisse t’observe.
Les autres clients aussi…

Tu te dis que le timing est vraiment parfait ! 😂

Et s’il y avait une autre approche ? Si on nous facilitait le don ? Qu’on le rendait plus lisible ?

Pour ceux qui soutiennent.
Pour ceux qui agissent.
Pour ceux qui parrainent.

C’est l’idée de mon invité Antoine Coudert. Avec Sootenir, il bouscule le mécénat et le monde du don.

Ensemble, on va évoquer :

  • L’approche novatrice de Sootenir,
  • Les dangers de traiter son business comme un side projet,
  • Comment l’UX Design l’a aidé à bâtir l’application,
  • Comment il a trouvé ses associés, et vite !

Antoine, c’est aussi un vent de fraîcheur décomplexé sur l’entrepreneuriat. Il distribue les punchlines comme jamais.

Je suis sympa, je te donne un aperçu :

« Jamais je ne regretterai de devoir reprendre un travail [pour remplir le frigo]. Mais je regretterais toujours de ne pas avoir essayé [de me lancer] ! »

Tu veux en savoir plus sur mon invité ?

 

 Bonne écoute !

#49 – 5 astuces pour découvrir le budget de tes clients

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

C’est l’appel découverte tant attendu. Après 30 minutes d’un échange parfait. C’est le moment pour toi de balancer la question fatidique : “Mais sinon, vous avez réfléchi au budget ? ” 

Et là, c’est le drame. 

Ton prospect regarde ailleurs, le silence s’installe. Il finit par te répondre : “Non, on y a pas trop réfléchi”. 😏

Tu n’es pas dupe. Tu sais qu’il y a cachalot sous petit caillou.  Tu insistes un peu. En vain.

Tu vas finir par faire ton devis au doigt mouillé. Sans certitude que tu vas gagner ce dossier. Ça me rend triste pour toi ! Alors, je ne vais pas te laisser comme ça !

Je t’ai préparé un épisode pour t’aider à obtenir ce précieux budget !

En moins de 20 minutes, je te partage :

  • 5 astuces pour obtenir ce fameux sésame,
  • Des scénarios pour t’inspirer dans tes réponses,
  • Comment réagir quand tu dois lâcher ton prix durant l’appel,
  • Ce qui se cache derrière cette épineuse question de l’argent.

Bonne écoute !

#48 – Fabrice Florent contre le business sans coeur

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

1 an et demi.

C’est le temps que ça m’a pris pour convaincre mon invité.

Crois-moi, ça valait le coup d’attendre !

Fabrice Florent ou Fabflo c’est le chauve derrière la création de madmoiZelle. 👨‍🦲

Aujourd’hui, tu le connais certainement pour ses nombreux podcasts.
Quand je dis « nombreux », je veux dire :
11 podcasts pour un cumul de 100 000 auditeurs par mois !

Yep… Ça envoie.

Ensemble, on évoque sa transition de CEO d’un média qui faisait 4 millions de visiteurs uniques,

Vers le lancement de sa boîte de production de podcast, en solo.

  • On creuse surtout des sujets comme :
    La difficulté de trouver sa valeur quand « ça n’a pas de prix »,
  • La façon dont le prix guide la perception des clients,
  • Sa rencontre douloureuse avec la prospection,
  • L’orientation que va prendre son business.

Dans cet épisode, il y a beaucoup de rires.

Je te promets aussi une bonne dose d’amour. 💙

Bonne écoute !

Tu veux en savoir plus sur Fabrice et découvrir son contenu ?
Jette un œil sur son site Fabflorent.com

#47 – 10 conseils pour combattre ta peur de prospecter.

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

Pour toi, c’est hors de question.
Sauf qu’il y a un problème…
C’est un passage obligatoire pour les entrepreneurs ! 😲

Je te parle de prospection !

Que ce soit par téléphone, par e-mail ou via des messages sur les réseaux.
Tu n’y couperas pas ! 😉

Je sais.
Il y a une alternative.
La fameuse stratégie de contenu.
Cet eldorado qui fait pleuvoir 10 clients par semaine. 🦄
Si tu sacrifies tout ton temps et toute ton énergie. 😉

Mais même à ce prix, la prospection, c’est au-dessus de tes forces ! 😨

Aller à la rencontre de tes clients te fait peur :

  • Le cauchemar de déranger la personne,
  • La crainte de ne pas savoir quoi dire,
  • La panique du rejet en direct,
  • La phobie de l’image du commercial insistant.

Je ne vais pas te laisser comme ça !
Je t’offre 10 astuces pour t’aider à surmonter tes craintes.
J’espère que grâce à cet épisode, tu auras une autre image de la prospection !

Dis-moi si ça t’a été utile en me laissant un message vocal sur la page podcast de mon site.

Bonne écoute !

#46 – Bastien Marécaux (Basti UI) contre le freelancing traditionnel

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

Il est freelance, sans être freelance. 🤨
Il travaille tout en étant libre ! 😎

Tu connais Bastien Marécaux via sa chaîne Basti UI.
Ses 100 K abonnés, c’est la face cachée de l’iceberg !

Bastien c’est le pote sympa qui te parle de design, sans prise de tête.
Celui avec qui on rigole, tout en apprenant.

 

Mais c’est surtout un business model pas commun :

  • 👉 Il est tombé dans le freelancing presque par obligation,
  • 👉 Il a inventé une méthode pour travailler en live sur ses projets clients,
  • 👉 Presque la moitié de son CA vient du sponsoring ! 😮

 

Dans cet épisode, on aborde des sujets comme :

  • Les coulisses de sa vie de freelance,
  • Ses conseils pour percer sur les réseaux sociaux,
  • Les risques quand tu transformes passion en travail.

 

Vous me connaissez, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller le chercher sur :

  • 💰 Son modèle de prix,
  • 😨 Ses peurs sur le freelancing,
  • 💪 La véritable valeur de son concept : le “télétralive”.

 

Vous avez envie d’en savoir plus sur Bastien ?

Et bien sûr, le lien de la vidéo dont on parle ensemble dans l’épisode :

👉 Par ici !

 

Tous ses autres liens sont ici.

Bonne écoute !

#45 – Comment relancer tes clients et prospects sans être relou ?

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

Tu fuis la relance de tes prospects et de tes clients. Sauf que ce n’est pas relance qui te fait peur. Toi, ce que tu veux éviter, c’est :

  • Déranger ton client au mauvais moment,
  • Te retrouver en position de faiblesse après l’envoi d’un devis,
  • Finir blacklisté par tes prospects,
  • Perdre un client parce que tu l’as saoulé.

Le problème, c’est que la relance, c’est indispensable pour réussir. J’ai donc créé un épisode de podcast pour toi. Dedans, je t’explique pourquoi j’insiste pour que tu relances. 😉

Mais surtout, après 15 minutes, tu sauras comment :

  • Relancer tes prospects sans les saouler,
  • Suivre tes propositions sans passer pour un crève-la-faim,
  • Maintenir la relation avec tes clients sans les déranger !

Bonne écoute !

#44 – Mariel, Troubadouresse 2.0 contre l’influence made in Dubai

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

Nan, mais allo ! C’est quoi ce nom d’épisode ?

C’est le choix de mon invitée : Mariel du Blog de Néroli.
Je pense aussi que c’est un titre qui lui convient très bien ! L’idée nous est venue durant l’épisode.

Je t’aide un peu en décomposant ce titre énigmatique :
« Troubadouresse », c’est le féminin de « troubadour ». Ces poètes du XIe siècle qui interprétaient leurs œuvres de châteaux en châteaux. « 2.0 » c’est pour une version numérique et moderne. Parce que Le blog de Néroli c’est 64 000 abonnés sur Instagram et plus encore sur YouTube.

« Contre l’influence made In Dubai. » C’est parce que…Tu sais quoi ?
Va écouter l’épisode, tu comprendras mieux ! Promis, ça vaut le coup d’oreille !

Parce qu’avec Mariel, on parle de :

  • Son déclic pour devenir blogueuse à 100% après 11 ans comme infirmière,
  • Le syndrome de l’imposteur et ses paradoxes,
  • La face cachée de l’influence. 😮
  • On se pose aussi pas mal de questions !
  • Comment vendre l’influence alors que son marché est en pleine construction ?
  • Est-ce qu’on peut admirer un créateur ou une créatrice de contenu ?
  • Est-ce qu’Alexandre Astier passera dans ce podcast ? 😁 *

 

Bonne écoute !

 

Tu veux en savoir plus sur Mariel ?

 

* J’espère bien ! 😁

#43 – Comment le syndrome de l’expert te fait perdre des clients ?

Aujourd’hui, je vais te parler de quelque chose que je vois quotidiennement chez les entrepreneurs, que ce soit dans leurs échanges avec leurs prospects, dans leur poste, sur les réseaux sociaux, dans leurs discussions avec leurs proches même.

En bref, je le vois partout.
Je vais te parler du syndrome de l’expert.

Comment va se passer cet épisode ?

  • Je vais d’abord clarifier ce que j’entends par syndrome de l’expert.
  • Pour ensuite t’expliquer pourquoi on est tous frappés par ce syndrome.
  • Je vais après évoquer les conséquences que ça peut avoir sur ton business.
  • Pour terminer avec des solutions pour contrer cette habitude.


Tu vas voir, tout va bien se passer.

Qu'est-ce que le syndrome de l'expert ?

Plutôt qu’une définition, je vais te raconter une anecdote que j’ai vécue la semaine dernière.
J’étais à un événement réseau, j’assistais à la conversation entre deux entrepreneurs.

J’appellerai Tom le premier. Tom travaille dans le growth marketing.
Je nommerai le second François. François est web designer.

Tom échangeait avec François sur les outils de mailing et de construction de tunnel de vente.
Il enchaînait les outils, les termes techniques et les méthodologies.

À un moment, François à dit :
“Oui, je connais cet outil, mais tout ça est compliqué pour moi”. Tom à continué.

Plus tard dans la soirée, on a évoquer tous ensemble ce fameux syndrome de l’expert.
Tom a dit qu’il arrivait très bien à gérer cet aspect.

J’ai pas pu m’en empêcher de lui faire remarque que, quelques minutes avant, François avait exprimé clairement son incompréhension. Ça ne l’a pas choqué. Honnêtement, c’est normal. Comment peut-il s’en rendre compte seul ?

Sauf peut-être si son client lui dit clairement : “Écoute Tom, je comprends que dalle, cette conversation ne va nulle part.” Tu avoueras que ça arrive pas souvent ! 😂

La véritable difficulté du syndrome de l’expert. C’est qu’on ne s’en rend pas compte.
On le fait tous, à plus ou moins grande échelle. Et pas toujours au même moment de la relation commerciale.

En tant que graphiste, tu vas peut être avoir tendance à parler branding, identité de marque, guide de style, espacements, couleurs…

Côté développeur, tu auras tendance à utiliser des termes comme PHP, CSS, dynamique, statique, CMS, open source. Tout en évoquant des fonctionnalités techniques autour de la flexibilité de la plateforme technique, du poids du site ou de l’application…

Pourquoi on souffre tous du syndrome de l’expert ?

En 3 mots : “C’est rassurant”.

Parfois, on est mal à l’aise face à ces échanges nos clients. On n’ose pas poser des questions à notre prospect. On se sent un peu mis à nu quand vient le moment de parler de budget.

Alors, pour se protéger, on utilise ce qu’on maîtrise. Des termes techniques, des mots complexes, pour montrer qu’on sait de quoi on parle, qu’on est à notre place.

Pour nous, c’est une façon de convaincre. Sauf que pour notre client ça fait tout l’inverse !

Parlons-en de notre client…

Les conséquences du syndrome de l'expert

Perdre l'attention de tes clients.

Qu’est-ce qui se passe dans la tête de ton client, quand tu parles comme un expert ?

D’abord, il arrête d’écouter.

Pas parce que c’est inintéressant. Mais parce qu’il ne comprend pas. Peut être même que face à tant d’expertise, il se sent un peu bête. Alors plutôt que d’admettre qu’il ne comprend pas, il laisse couler.

Donc le premier risque, c’est la perte d’attention et d’intérêt de ton client. Les premiers échanges avec tes prospects sont cruciaux.

C’est là que tu construits ou renforce la confiance en ton offre. C’est pas le moment de faire peur à ton prospect !

Je pense que quand j’écris “tu construis ou renforce la confiance en ton offre”.
Tu as directement pensé “comment je fais pour démontrer mon expertise ? “

On va y revenir !

Créer des problèmes de communications

Lorsqu‘on n’est pas d’accord sur la définition des mots utilisés, c’est souvent là que commencent les problèmes de communication.

Par exemple, si tu dis “Guide de style” en pensant sélection de couleurs, moodboards et recommandations de typos. Et que côté client, il imagine une charte complète incluant des recommandations d’usage de son logo, de ses couleurs, des exemples de design.

Tu vas avoir un problème au moment de la livraison !
C’est la même chose côté technique.

Si je parle de “responsive” pour évoquer un site qui s’adapte à tous les supports et que mon client pense à un site qui se charge en quelques millisecondes. Tu risques d’avoir du mal à faire payer ta facture.

Le second risque, tu l’auras compris, c’est que la relation avec ton client parte en vrille.

Mais il y a un troisième risque.

Effrayer tes clients

C’est ce troisième risque qui m’intéresse le plus. Ça se passe dès le début de la relation avec ton prospect. Au moment où tu découvres son projet, et où il découvre ton univers. Ce fameux moment qui dictera si oui ou non, vous allez travailler ensemble.

Tu penses comprendre ton client.
Mais lui, est complètement perdu.

Tu pensais pouvoir te reposer sur tes compétences.
Mais à ses yeux, tu parait arrogant et inaccessible.

Tu pensais signer avec lui ?
Tu n’auras jamais de nouvelle.

Ça fait peur hein ? Et bien, ça arrive super souvent.

Retiens ça : le troisième risque, c’est de perdre des clients avec qui tu aurais tout à fait pu travailler. Ça s’applique aussi bien lors de l’appel découverte que dans tes contenus sur les réseaux !

Comment tu peux t’en sortir ?

Comment démontrer ton expertise sans tomber dans le syndrome de l’expert ?

J’ai 5 pistes de solution pour toi. Je te laisse les découvrir plus bas.

1. Il faut que tu saches à qui tu as à faire.

Peut être que ton client a des bases sur ton métier. Peut être qu’il n’y connait rien.

Au fur et à mesure de tes échanges avec tes clients et tes prospects, tu vas pour identifier leur degré de maturité par rapport à ton offre.

En connaissant bien ta cible, tu vas pouvoir directement ajuster ton discours en fonction de leurs attentes. C’est à eux, de déterminer avec quoi ils se sentent à l’aise. Pas à toi.

2. Il faut faire attention aux signaux

Un long silence dans la conversation, un prospect qui somnole, les yeux qui regardent ailleurs, un échange qui tourne en boucle. Ça veut peut être dire que tu as perdu ton prospect. C’est le moment de vérifier si vous êtes sur la même longueur d’onde !

Creuse ce qui peut générer une incompréhension et devenir une objection pour la suite.

3. Penses à vérifier avec ton interlocuteur.

T’assurer tout simplement que ce que tu dis est compris.

Déculpabilise ton prospect ou ton client si elle ou il ne comprend pas. C’est normal après tout, c’est toi l’expert pas lui !

Personnellement, je suis convaincu qu’on reconnaît les vrais experts en leur capacité à simplifier les concepts et les termes qui constituent leurs domaines ! Pas l’inverse !

4. Connais tes arguments de vente

Si tu galères à expliquer pourquoi le client doit signer avec toi et pas avec quelqu’un d’autres, tu vas naturellement retomber en mode expert.

Parce que oui, il y a d’autres personnes qui font la même chose que toi :

  • Il y a plein de graphistes,
  • Il y a plein de développeurs.
  • Il y a plein de coachs business,

Toi, tu peux évaluer ton niveau. Tu connais d’autres acteurs de ton secteur, tu te formes, tu peux comparer. D’ailleurs ça te joue souvent des tours.

Par contre, pour ton client, il est impossible d’établir à quel point tu maîtrises ton domaine. Il y a trop de paramètres, il y a trop de concurrences. C’est pas son sujet.

Aide le plutôt à naviguer cet océan de complexité. Deviens son meilleur allié. Tu n’y arriveras pas en le noyant de termes techniques. Au contraire, tu l’aideras en l’aidant à comprendre et en évitant les pièges.

5. Laisse parler ton client 😁

Plutôt que de t’engouffrer dans une démonstration de compétences, laisse la place à ton client. Ça te permettra d’évaluer son niveau de connaissance du sujet.

De découvrir des éléments de son projet qui seraient restés invisibles si tu avais monopoliser la conversation.

Tu sais quoi, tu peux même lui demander :

  • “Mais, pour vous, ça fait quoi quoi un graphiste ? ”
  • “Ça veut dire quoi un développeur d’application ? ”


C’est un bon moyen d’identifier leurs attentes !

On fait le point sur ce syndrome de l’expert !

Le syndrome de l’expert, c’est tu imagines que ton client en sait autant que toi.

C’est vrai pour la partie technique, mais aussi pour la façon dont tu fonctionnes avec ton business. Je veux parler des tes horaires d’ouvertures, des méthodes que tu préfères pour communiquer, des modalités de paiement…
Le risque, c’est qu’on suppose que tout est clair côté client, alors qu’il n’a rien compris.

Ça peut endommager tes relations avec eux, créer des problèmes de communications dès le début de la collaboration, mais aussi bien après. Pour combattre ça, il faut apprendre à se mettre à la place de son client.

Verbaliser les moments d’incompréhension ou de doutes pour éviter des blocages sur le long terme. Oui, c’est bien à toi d’amorcer cette conversation et de maîtriser le reste de l’histoire. Mais, comme je le disais, le vrai problème du syndrome de l’imposteur, c’est qu’on ne s’en rend pas compte !

Alors comment faire ? C’est simple. Tu utilises un regard extérieur.

Quelqu’un qui saurait te dire “Oula, tu vas où comme ça ? On comprend que dalle”. Une personne qui pourrait t’aider à identifier tes arguments, pour éviter de sombrer la complexité. Pour au final, transformer cette véritable expertise en machine à vendre !

Tu vois pas là, mais depuis tout à l’heure je te fais des clins d’œil… Je parle de moi !
Prends rendez vous sur la page contact de mon site pour qu’on en parle ensemble.

C’est bon, c’est fait ? 😉

#42 – Maxime de Rostolan et l’écologie sans urgence

La transcription de cet épisode est toujours en cours.

“Si on ne dérange personne, on n’est pas en train de bouger les lignes.”

Ce sont les mots de mon invité, Maxime de Rostolan pour ce premier épisode de 2024. Pourtant, son dernier projet met tout le monde d’accord ! Ce n’est pas un hasard. Maxime défend des projets écologiques depuis 20 ans !

Avec Sailcoop, il veut changer le rapport au temps et au voyage.

Bye bye le grondement des moteurs.
Bonjour le bercement des clapotis et la douceur du vent dans les voiles !

Alors, comment on garde le cap (😉) devant des discours alarmistes ? Comment on réagit, quand on entend “Non”, pour la 4e fois ?

Tu trouveras ces réponses dans cet épisode. Mais pas que ! On va aussi parler de :

  • Cette façon qu’on a de jauger la réussite en fonction du CA.
  • Ce qui a motivé le choix d’une coopérative pour Sailcoop.
  • Son projet de festival à gros budget annulé 30 jours avant le lancement !


Vous avez envie d’en savoir plus sur mon invité ?